Now as for myself, I do not claim to have discovered either the existence of classes in modern society or the struggle between them.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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En ce qui me concerne, ce n'est pas à moi que revient le mérite d'avoir découvert ni l'existence des classes dans la société moderne, ni leur lutte entre elles.

Karl Marx

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Por lo que a mí se refiere, no me cabe el mérito de haber descubierto la existencia de las clases en la sociedad moderna ni la lucha entre ellas.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Art

 

 

Textes de Nicolás Guillén

 

 

Nicolás Cristóbal Guillén Batista (1902‑1989).

Né à Cuba. En janvier 1937, il participe au 1° congrès de la Ligue des écrivains et artistes révolutionnaires du Mexique. Il se met en rapport, entre autres, avec Alfaro Siqueiros. Au cours de cette année, il voyage en Espagne pour participer au 2° Congrès international d'écrivains pour la défense de la culture, tenu à Barcelone, Valencia et Madrid. Il se met en rapport, entre autres, avec Pablo Neruda et Anna Seghers. Il entre au Parti communiste de Cuba. De retour à Cuba, entre 1939 et 1941 il est actif dans le domaine politique et culturel, à travers le périodique Hoy et le Front national antifasciste, dont il est dirigeant. En 1952, il voyage en URSS, en République populaire de Chine et en Mongolie. Le coup d'état de Batista en cette année l'oblige à l'exil. En 1959, suite au renversement de Batista, il retourne à Cuba. En 1961 se tient à La Havane le congrès lors duquel se fonde l'Union des écrivains et artistes de Cuba (UNEAC), dont il est élu président, charge qu'il détiendra jusqu'à sa mort.

Ajouté: octobre 2008

 

 

 

 

 

N. Guillén, Canne (ajouté: octobre 2008)

 

 

 

N. Guillén, Guadalupe, W. I. (ajouté: octobre 2008)

 

 

 

N. Guillén, Devinettes (ajouté: octobre 2008)

 

 

 

N. Guillén, Exécution (ajouté: octobre 2008)

 

 

 

N. Guillén, Bourgeois (ajouté: octobre 2008)

 

 

 

 

Tableaux albanais, années 1960‑1970

 

 

Les tableaux présentés ici sont extraits de l'ouvrage Les Arts Figuratifs Albanais - La Peinture, Éditions "8 Nëntori", Tirana, 1978.

Ajouté: janvier 2008

 

 

 

 

 

 

Textes d'Atahualpa Yupanqui

 

 

Atahualpa Yupanqui (Héctor Roberto Chavero) (1908‑1992).

Né en Argentine. À treize ans il adopte le pseudonyme Atahualpa, qui renvoie au dernier empereur Inca. Plus tard il y joint le nom Yupanqui, pour signifier, selon la traduction du Quechua: "Ata", venir; "Hu", de loin; "Allpa", terre; y "Yupanqui", dire et conter.

En 1932, il participe à une tentative de rébellion qu'organisent les frères Eduardo, Roberto et Mario Kennedy, de la Unión Cívica Radical (UCR), dans la province d'Entre Ríos, pour renverser le gouvernement de Justo. (En 1930, José Félix Uriburu avait dirigé un coup militaire renversant le président Yrigoyen, et en 1932 le chef de l'armée, le général Augustín P. Justo avait assumé la fonction de président.) L'insurrection est étouffée et Atahualpa Yupanqui s'exile en Uruguay. Avec la déclaration d'une amnistie, en 1934, il retourne au pays. En 1945 il s'affilie au Partido Comunista de Argentina (PCA). À huit reprises il subit la détention sous le régime péroniste. En 1950 il passe en Uruguay et de là en Europe. En 1952, à son retour en Argentine, il s'éloigne du PCA. En 1956, avec le renversement du péronisme, il est également persécuté par les militaires antipéronistes. En 1966-1967 sa nouvelle visite en Europe constitue le début de son exile. Il meurt en France.

Ajouté: janvier 2008

 

 

 

 

 

Atahualpa Yupanqui, Baguala du mineur (ajouté: janvier 2008)

 

 

 

Atahualpa Yupanqui, Du travail, je veux du travail (ajouté: janvier 2008)

 

 

 

Atahualpa Yupanqui, Chanson de la plantation (ajouté: janvier 2008)

 

 

 

Atahualpa Yupanqui, La fin de la récolte (ajouté: janvier 2008)

 

 

 

Atahualpa Yupanqui, Juste quelques questions (ajouté: janvier 2008)

 

 

 

Atahualpa Yupanqui, Assez (ajouté: janvier 2008)

 

 

 

 

Textes d'Eugène Pottier

 

 

Eugène Pottier (4 octobre 1816 - 6 novembre 1887).

Né à Paris. Dessinateur sur étoffes, il compose sa première chanson, “Vive la Liberté”, en 1830. En 1848, il prend part, sur les barricades, au combat des ouvriers contre la bourgeoisie. Sous le Second empire, il crée une maison d'impression sur étoffes et en 1864 il est à l'origine de la création de la chambre syndicale des dessinateurs qui adhère ensuite à la Première Internationale. En 1871, il est élu membre de la Commune de Paris. Il participe à toute l'activité de ce premier gouvernement prolétarien. En juin 1871, caché à Paris il crée son poème L'Internationale. Il se réfugie en Angleterre, est condamné à mort par contumace le 17 mai 1873 et s’exile aux États-Unis, puis revient en France après l’amnistie de 1880. Il adhère au Parti ouvrier français.

Ajouté: septembre 2007

 

 

 

 

 

E. Pottier, La revanche des moutons (1886) (ajouté: septembre 2007)

 

 

 

E. Pottier, La bouteille inépuisable (non daté) (ajouté: septembre 2007)

 

 

 

E. Pottier, Logements insalubres (non daté) (ajouté: septembre 2007)

 

 

 

E. Pottier, Ne dérangeons pas le monde (non daté) (ajouté: septembre 2007)

 

 

 

 

La Patagonie rebelle - Une fiction documentaire

 

 

“La Patagonie rebelle” (La Patagonia Rebelde), un film de Héctor Olivera traitant de la répression qui frappa les ouvriers agricoles de l'extrême Sud argentin, entre 1920 et 1921.

Ajouté: aout 2006

 

 

 

 

 

 

Oeuvres de David Alfaro Siqueiros

 

 

David Alfaro Siqueiros (1896‑1974).

Né au Mexique. Il prend part à la Révolution mexicaine, puis devient membre du Parti communiste mexicain (PCM). Au début des années 1930, après avoir été emprisonné, il s'exile en Amérique du Sud et aux USA. Entre 1937 et 1939 il participe à la Guerre civile espagnole contre les forces franquistes. Il revient au Mexique en 1940, mais est contraint de partir une fois de plus jusqu'en 1944. En 1960 il est de nouveau arrêté pour son opposition au régime politique et passe quatre années en prison.

Ajouté: février 2006
Dernière modification: mars 2008

 

 

 

 

 

D. A. Siqueiros, Retrato de la burguesía (1939‑1940) (ajouté: mars 2014)

 

 

 

 

Textes de Bertolt Brecht et d'Erich Weinert

 

 

Bertolt Brecht (1898‑1956).

Né en Allemagne. En 1933, il s'exile. En 1935, il voyage en Union soviétique. À partir de 1941 il vit aux USA. En 1944 il participe au “Council for a Democratic Germany” [“Conseil pour une Allemagne démocratique”]. En 1949 il retourne en Allemagne de l'Est.

Erich Weinert (1890‑1953).

Né en Allemagne. En 1933, il s'exile. En 1935, il voyage à Moscou. En 1937 il se rend en Espagne pour soutenir les troupes républicaines, il est interné dans un camp en France, puis trouve asile en URSS. De 1943 à 1945 il est président du “Nationalkomitees Freies Deutschland”  [“Comité national Allemagne libre”] établi à Moscou. En 1946 il retourne à Berlin-Est.

Ajouté: février 2006
Dernière modification: mars 2011

 

 

 

 

 

B. Brecht, Chanson de solidarité (1929‑) (ajouté: février 2006) (dernière modification: novembre 2008)

 

 

 

B. Brecht, La chanson sur l'homme de la SA (1931) (ajouté: mars 2011)

 

 

 

B. Brecht, La chanson sur l'ennemi de classe (1933) (ajouté: mars 2011)

 

 

 

B. Brecht, La chanson sur le front uni (1934) (ajouté: mars 2011)

 

 

 

B. Brecht, Résolution des Communards (1945‑1950) (ajouté: février 2006)

 

 

 

E. Weinert, Le déploiement dissimulé de troupes (1927) (ajouté: mars 2011)

 

 

 

E. Weinert, Chanson de combat contre le fascisme (1932) (ajouté: mars 2011)

 

 

 

 

Reflets du mouvement ouvrier dans le cinéma - deux exemples

 

 

Matewan”.

Ce film du réalisateur John Sayles, sorti en 1987, est inspiré d'évènements survenus en 1920 dans la ville de Mingo County (West Virginia) aux USA. Il s'agit d'un conflit opposant les mineurs de la Stone Mountain Coal Company à leur employeur.

“The Salt of the Earth”.

Ce film de Herbert Biberman, produit en 1954 avec la participation de l'International Union Of Mine, Mill and Smelter Workers, est basé sur une grève des mineurs de la Empire Zinc Mine de Silver City, de New Mexico.

Ajouté: février 2006

 

 

 

 

 

 

Tableaux de George Grosz

 

 

George Grosz (1893‑1959).

En 1919, il est arrêté au cours de la tentative de révolution organisée par le Parti communiste d'Allemagne (KPD), mais il réussit à s'échapper. Il devient membre du KPD. En 1923, Wieland Herzfelde lance, avec John Heartfield, George Grosz, et d'autres artistes, la revue satirique du KPD, “Der Knüppel” (la matraque), qui paraitra jusqu'en 1927. En 1933, Grosz immigre aux USA. En Allemagne, ses oeuvres sont confisquées par les national-socialistes, certaines sont montrées en 1937 à l'exposition sur l'“art dégénéré” à Munich. En 1959 il s'installe de nouveau en Allemagne.

Ajouté: février 2006
Dernière modification: avril 2014

 

 

 

 

 

G. Grosz, Album: Le visage de la classe dominante (1921) (ajouté: janvier 2013) (dernière modification: septembre 2014)

 

 

 

G. Grosz, Album: Nous règlerons nos comptes ! (1923) (ajouté: janvier 2013) (dernière modification: avril 2014)

 

 

 

G. Grosz, La représentation des grands capitalistes dans les dessins de George Grosz (ajouté: janvier 2013)

 

 

 

G. Grosz, Références bibliographiques (ajouté: janvier 2013) (dernière modification: septembre 2014)