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Le mouvement de la pensée Karl Marx, 24 janvier 1873 |
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Contact: 321ignition@free.fr |
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Analyses |
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Sous ce titre, un article a été publié par La Voix des Communistes, organe central du ROCML (Rassemblement organisé des communistes marxistes-léninistes), dans le n° 13, 1er trimestre 2016. Nous reproduisons ici deux autres textes de même provenance, qui sous différents angles décrivent et analysent plus en détail les problématiques dont les évènements récents au Venezuela sont révélateurs. Ajouté: mars 2016 |
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Nous reproduisons ici deux brochures publiées par le CEMOPI en 1996. Ces textes ont servi de fil conducteur pour les Conférences présentées par Patrick Kessel respectivement le 13 janvier et le 14 juin 1996, dans le cadre de l'Université Marxiste de Paris. Ajouté: octobre 2015 |
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Le chômage, phénomène organique au-delà des formes circonstancielles |
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Nous reproduisons ici quelques textes publiés par le CEMOPI en 1999, qui comportent des réflexions sur les positions marxistes-léninistes concernant la question du chômage. Ajouté: mars 2015 |
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Alors qu'à l'origine, au 19e siècle, le terme "social-démocratie" désignait des partis ayant un programme communiste, une distinction s'est établie par la suite entre ceux qui restaient fidèles au marxisme et ceux qui se transformaient progressivement en soutiens indirects de la bourgeoisie. Au bout du compte on désigne comme social-démocratie les partis socialistes tels que notamment le PS (successeur de la SFIO). C'est de cette social-démocratie-là, ennemie de la classe ouvrière, que F. Lassalle est l'ancêtre. Ajouté: octobre 2013 |
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Dans ses origines, la conception réformiste a été établie par Ferdinand Lassalle, contemporain de Karl Marx et Friedrich Engels. Puis, les idées de Lassalle ont été un point de départ pour un ensemble, aux contours flous, de formulations théoriques et d'applications pratiques alliant une certaine dose de critique du système capitaliste avec la volonté d'assurer la conservation de celui-ci comme système dominant. Les forces véhiculant ces objectifs se sont toujours adaptées aux contextes variés qu'a traversés l'évolution de la société. De nos jours, le mouvement ouvrier est confronté à un réformisme reflétant la situation actuelle, à savoir un réformisme rabougri, quasiment absorbé par l'idéologie bourgeoise pure et simple. Ajouté: mai 2014 |
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1933 1945: Le KPD dans la lutte contre la dictature national-socialiste |
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Cet ensemble de textes prend comme objet central l'analyse de la façon dont le Parti communiste d'Allemagne (KPD) a intégré dans son orientation et sa pratique la constitution d'un front populaire antifasciste. Cette problématique s'inscrit dans un champ plus large, autour d'au moins deux axes: 1) la question du front populaire en général; 2) l'histoire du KPD et du mouvement ouvrier en Allemagne. Ajouté: janvier 2013 |
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Autriche, février 1934: Un jalon dans la résistance au fascisme |
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La résistance des travailleurs d'Autriche contre une tentative de putsch fasciste, en février 1934, constitue à la fois le point de départ d'une évolution conduisant à la soumission directe du peuple autrichien à la dictature national-socialiste, et l'aboutissement d'un processus profondément hypothéqué par la politique que suivait le Parti ouvrier social-démocrate d'Autriche, le SDAPÖ, dont l'influence sur les masses populaires était alors largement prépondérant. Ajouté: janvier 2014 |
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Quelques déformations dans l'interprétation de l'expérience historique révolutionnaire |
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Le mouvement vers la révolution socialiste mondiale est marqué par des jalons fondamentaux: le "Manifeste du Parti communiste" (1848), la Commune de Paris (entre mars et mai 1871), la révolution en Russie en novembre 1917. Certains aspects de ce cheminement historique sont pris comme référence en appui à des positions largement répandues mais erronées. C'est le cas en particulier en ce qui concerne les soviets et la situation du "double pouvoir" qui s'était produit en Russie après la révolution de février 1917. Ajouté: février 2010 |
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Les manoeuvres de la dite “extrême gauche” dans l'opposition à l'“Europe libérale” |
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Face à la question de l'unification de l'Europe, les organisations qualifiées d'extrême gauche adoptent des orientations contrastées. Nous présentons ici deux échantillons: la stratégie qui consiste à attaquer le “néolibéralisme” en prétendant atteindre à travers lui le capitalisme; et celle qui veut prendre une voie exprès pour aboutir aux “États-Unis socialistes d'Europe”, et “du monde”. Ces positions politiques ne sont nullement révolutionnaires. Et tout en étant fortement différenciées les unes par rapport aux autres, elles s'inscrivent dans un mécanisme où tous ces groupes agissent conjointement pour paralyser le développement d'un mouvement ouvrier authentiquement révolutionnaire. Dans ce cadre, les distinctions voire contradictions apparentes ont pour fonction d'occulter l'objectif véritable. Ajouté: octobre 2007 |
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Ce texte a été écrit en décembre 2013 comme contribution à la discussion dans le cadre de conférences-débats organisées par le ROCML (Rassemblement organisé des communistes marxistes-léninistes). Il n'aborde pas explicitement les conséquences qui pouvaient découler de la mort d'Hugo Chávez en mars 2013; néanmoins il avait pour objectif, entre autres, de faire ressortir les éléments fondamentaux qui ne pouvaient aboutir qu'à l'échec des projets portés par le régime "bolivarien". L'aggravation de la situation au Venezuela au cours des deux dernières années ne provient nullement d'une supposée modification d'orientation entamée par les successeurs de Chávez, ni d'une quelconque défaillance de leur part. Les racines du cours des évènements depuis 1999 résident dans le caractère du projet politique défini et mis en oeuvre par Chávez avec le soutien, à différents niveaux, d'autres collaborateurs individuels ainsi que de certaines forces politiques organisées. En résumé, deux aspects méritent d'être soulignés. D'une part, en Europe, les informations concernant le déploiement du régime "bolivarien" ont nourri considérablement l'imaginaire de militants politiques qui se trouvaient encouragés dans leurs espoirs par le fait de voir ‑ impression illusoire ‑ un Venezuela antiimpérialiste affronter le monde capitaliste ayant à sa tête "l'empire" US. Mais d'autre part, parmi les victimes de cette illusion compte une partie considérable des travailleurs et des masses populaires au Venezuela même. Et du point de vue du mouvement ouvrier, cela en premier lieu est foncièrement déplorable. Ajouté: janvier 2016 |
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Un spectre hante le monde, c'est le “socialisme du 21e siècle” pour le développement duquel le “révolutionnaire bolivarien” Hugo Chávez, président de Venezuela, fait la promotion. S'il est sans doute nécessaire de démonter la tromperie autour de l'aura révolutionnaire que se fabrique Chávez, il est également important d'examiner certaines positions politiques qui prétendent critiquer Chávez sur une base authentiquement révolutionnaire, mais n'ajoutent en fait qu'un autre niveau de mystification. Ajouté:
avril 2006 |
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La question nationale albanaise et le conflit de 1998-1999 au Kosovo |
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Durant les années 1980-1990, les Balkans connurent des bouleversements politiques profonds, concernant notamment le Kosovo. À partir de 1981, la résistance des Albanais du Kosovo contre la domination serbe s'intensifie; en 1995-1997, l’Armée de libération du Kosovo (UÇK) est établie; puis en 1999 l'OTAN effectue une campagne d'attaques aériennes contre la Serbie. Ces évènements soulevèrent avec acuité la question du droit des nations à disposer d'elles-mêmes. Ajouté: juin 2008 |
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Après l'autodestruction de ce qui subsistait encore du régime socialiste, resurgit une situation d'un marché mondial unique où l'impérialisme capitaliste a pleine liberté d'action. Ce contexte ne supprime pas les conflits entre les différents centres impérialistes, ni ne s'oppose aux regroupements régionaux de pays impérialistes. La mondialisation d'une part, la recrudescence de forces nationalistes agissantes de l'autre, sont deux aspects concomitants du même phénomène. Ajouté: mai 2008 |
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En octobre 1965, l'armée indonésienne commandée par Suharto déclencha une vaste opération de répression contre le Parti communiste d'Indonésie et les organisations liées à lui. En mars 1966 Suharto sera investi de pouvoirs d'exception et il deviendra président en 1967. Le nombre de victimes des massacres de 1965-1966 peut être estimé à plus de 500 000 morts. À l'époque actuelle, au nom de la mémoire, il est de bon ton moral de mettre en avant “la repentance”, ce qui est une manière comme une autre de tuer justement la mémoire, de faire la paix avec les assassins sur le dos des cadavres, ou bien pour des raisons qui n'ont rien de moral, de juger tel ou tel. Sous cet angle le cas de l'Indonésie est singulier, parce que ce massacre-là est généralement évacué de la mémoire. Les victimes, en effet, en grand nombre, étaient des communistes. Ajouté:
juillet 2007 |
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En Palestine se constitua dans la première moitié des années 1920 un Parti communiste, en lien avec l'Internationale communiste dirigée par le PC(b)US. De façon particulièrement marquée, la réalité confrontait ses militants au problème essentiel du point de vue du marxisme-léninisme: comment faire prévaloir les intérêts fondamentaux de la classe ouvrière dans le cadre du combat contre l'impérialisme mondial. Les contradictions qui traversent ce système sont multiples, et mener à bien la lutte pour la révolution prolétarienne nécessite qu'elles soient prises en compte correctement. C'est le cas notamment en ce qui concerne la question du droit des nations à disposer d'elles-mêmes. Ce texte vise à fournir quelques éléments historiques relatifs au cas de la Palestine. Ajouté:
janvier 2007 |
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Ce n'est pas en comptant le nombre de ses victimes qu'on peut situer le national-socialisme par rapport à d'autres forces politiques, mais seulement en examinant ‑ outre sa base économique ‑ les fondements de son contenu politique et idéologique. Or, il existe certains fondements racistes communs aux idéologies sioniste et national-socialiste. Ajouté: janvier 2009 |
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