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Karl Marx

Le Capital - Livre 2e
1re°section : Les métamorphoses du capital et leur cycle

Chapitre 1 : Le cycle du capital argent
(Extraits)

Chapitre 2 : Le cycle du capital productif
Sous-chapitre 2 : L'accumulation et la reproduction
sur une échelle élargie

 

 

Source:

Le Capital - Livre deuxième - Tome I
Paris, Éditions sociales, 1974, p. 73‑80

 

 

 

 

 

 

 

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Textes de Karl Marx ‑ Sommaire

 

 

 

 

 

 

Chapitre 1 : Le cycle du capital argent

Le procès cyclique[1] du capital s'effectue en trois stades, qui forment, d'après l'exposé du premier livre, la série suivante.

Premier stade: Le capitaliste apparaît sur le marché des marchandises et sur le marché du travail comme acheteur; son argent se convertit en marchandise, autrement dit accomplit l'acte de circulation A‑M.

Deuxième stade: Consommation productive, par le capitaliste, des marchandises achetées. Il agit comme producteur de marchandises capitaliste; son capital accomplit le procès de production. Résultat: une marchandise d'une valeur supérieure à celle de ses éléments producteurs.

Troisième stade: Le capitaliste retourne sur le marché comme vendeur; sa marchandise se convertit en argent, autrement dit accomplit l'acte de circulation M‑A.

La formule applicable au cycle du capital-argent est donc:

A‑M ... P ... M´‑A´, les points indiquant que le procès de circulation est interrompu, tandis que M´ et A´ désignent un M et un A augmentés par de la plus‑value.

[...]

I. Premier stade. A‑M[2].

A‑M représente la conversion d'une somme d'argent en une somme de marchandises; pour l'acheteur, transformation de son argent en marchandise; pour les vendeurs, transformation de leurs marchandises en argent. Ce qui fait que cet acte de la circulation générale des marchandises est en même temps, une période de fonctionnement déterminée dans le cycle autonome d'un capital individuel, ce n'est pas en premier lieu la forme de l'acte, mais son contenu substantiel, le caractère d'usage spécifique des marchandises qui permutent avec l'argent. Ce sont d'une part des moyens de production, d'autre part de la force de travail, les facteurs objectifs et personnels de la production des marchandises, facteurs dont le genre particulier doit naturellement correspondre à la sorte d'article à fabriquer. Si nous désignons par T la force de travail et par Mp les moyens de production, la somme de marchandises à acheter s'exprime par M = T + Mp, ou plus brièvement

 

{

T

M

{

 

 

{

Mp

Considéré au point de vue de son contenu, A‑M se présente donc comme A‑M{T+Mp}, c'est-à-dire que A‑M se décompose en A‑T et A‑Mp; la somme d'argent A se divise en deux parties, dont l'une achète de la force de travail, l'autre des moyens de production. Ces deux séries d'achats relèvent de marchés absolument différents, l'une du marché des marchandises proprement dit, l'autre du marché du travail.

[...]

II. Deuxième stade. Fonction du capital productif.

Le cycle du capital que nous étudions ici commence par l'acte de circulation A‑M, conversion de l'argent en marchandise, achat. Il faut donc que la circulation soit complétée par la métamorphose opposée, M‑A, conversion de la marchandise en argent, vente. Mais le résultat direct de l'acte A‑M{T+Mp} est d'interrompre la circulation de la valeur-capital avancée sous forme d'argent. Par la transformation du capital-argent en capital productif, la valeur-capital a pris une forme en nature, sous laquelle elle ne peut continuer de circuler, mais doit entrer en consommation, nous voulons dire en une consommation productive. L'emploi de la force de travail, le travail, ne peut se réaliser que dans le procès de travail. Le capitaliste ne saurait revendre l'ouvrier comme marchandise, puisque celui-ci n'est pas son esclave et qu'il n'a acheté que l'utilisation de sa force de travail pour un temps déterminé. D'autre part, il ne peut utiliser cette dernière qu'en lui faisant utiliser les moyens de production comme formateurs de marchandises. Le résultat ci premier stade est donc l'entrée dans le deuxième, dans le stade productif du capital.

Le mouvement se représente par A‑M ... P, les points indiquant que la circulation du capital est interrompue, mais que son procès cyclique continue, du fait qu'il entre de la sphère de la circulation des marchandises dans la sphère de la production. Le premier stade, conversion du capital-argent en capital productif, n'apparaît donc que comme le prélude et l'introduction au deuxième stade, la fonction du capital productif.

[...]

III. Troisième stade. M´‑A´.

[...]

Sous sa[3] forme de marchandise, le capital s'acquitte nécessairement d'une fonction de marchandise. Les articles dont il se compose, étant produits d'emblée pour le marché, doivent être vendus, convertis en argent, donc décrire le mouvement M‑A.

[...]

Chapitre 2 : Le cycle du capital productif

[...]

II. L'accumulation et la reproduction sur une échelle élargie

Étant donné que les proportions dans lesquelles le procès de production est apte à s'élargir sont non pas arbitraires, mais commandées par les conditions techniques, il se peut que la plus‑value réalisée, tout en étant destinée à être capitalisée, ne parvienne souvent que par la répétition de différents cycles au volume nécessaire pour qu'elle fonctionne effectivement comme capital additionnel, pour qu'elle entre dans le cycle de la valeur-capital en marche: jusque-là, il faut qu'elle s'amoncelle. Elle prend, en ce cas, l'aspect rigide de trésor et constitue sous cette forme du capital-argent latent. Capital latent, puisqu'il ne peut agir comme capital tant qu'il demeure sous la forme argent[4]. La thésaurisation apparaît donc ici comme un facteur qui, tout en étant impliqué dans le procès capitaliste d'accumulation, tout en l'accompagnant, s'en distingue par essence. En effet, la formation d'un capital-argent latent n'élargit pas le procès de reproduction lui-même. Au contraire. S'il se forme ici du capital-argent latent, c'est parce que le producteur capitaliste est incapable d'étendre immédiatement l'échelle de sa production. Au cas où il vend son surproduit à un producteur d'or ou d'argent qui jette dans la circulation de nouvelles quantités d'or ou d'argent ou, ce qui revient au même, à un commerçant qui importe de l'étranger des quantités supplémentaires d'or ou d'argent en échange d'une partie du surproduit national, son capital-argent latent forme un accroissement du trésor national d'or ou d'argent. Dans tous les autres cas, les 78 l. st., par exemple, qui étaient un moyen de circulation entre les mains de l'acheteur, ont pris simplement la forme de trésor entre les mains du capitaliste: on n'a donc affaire qu'à une répartition différente du trésor national d'or ou d'argent.

Si l'argent fonctionne dans les transactions de notre capitaliste comme moyen de paiement (la marchandise ne devant être payée par l'acheteur que dans un délai plus ou moins long), le surproduit destiné à être capitalisé se convertit non en argent, mais en créances, en titres de propriété sur un équivalent que l'acheteur a peut-être déjà en sa possession, peut-être seulement en vue. Tout comme l'argent placé en papiers portant intérêts, etc., il reste en dehors du procès de reproduction du cycle, bien qu'il puisse entrer dans le cycle d'autres capitaux industriels individuels.

Tout le caractère de la production capitaliste est déterminé par la mise en valeur de la valeur-capital avancée, donc, en premier lieu, par la production de plus‑value dans la plus large mesure possible; deuxièmement (voir Livre Ier, chap. XXIV [5]), par la production de capital, donc par la conversion de plus‑value en capital. L'accumulation ou production sur une échelle élargie apparaît comme le moyen d'étendre constamment la production de plus‑value, donc l'enrichissement du capitaliste, et comme le but personnel de ce dernier; elle est comprise dans la tendance générale de la production capitaliste; mais, par la suite, elle se transforme, du fait de son développement, comme nous l'avons montré au Livre Ier [6], en une nécessité pour chaque capitaliste individuel. L'augmentation constante de son capital devient indispensable à la conservation de ce même capital. Mais nous n'avons pas à revenir davantage sur ce qui a été exposé antérieurement.

En examinant d'abord la reproduction simple, nous avons supposé que toute la plus‑value est dépensée comme revenu. En réalité, dans des conditions normales, il faut toujours qu'une partie en soit dépensée comme revenu et qu'une autre en soit capitalisée, sans qu'il importe de savoir si la plus‑value produite dans les limites de périodes déterminées est parfois entièrement dépensée, parfois entièrement capitalisée. Dans le mouvement moyen, ‑ et c'est le seul que la formule générale puisse représenter, ‑les deux se présentent. Pour ne pas compliquer la formule, il vaut pourtant mieux admettre qu'on accumule la plus‑value tout entière. La formule[7]

 

{

T

 

P ... M´‑A´‑M´

{

 

 ... P´

 

{

Mp

 

exprime un capital productif qui se reproduit à plus grande échelle et avec une valeur plus grande et commence son second cycle ou, ce qui revient au même, renouvelle le premier comme capital productif augmenté. Dès que ce second cycle commence, nous retrouvons P comme point de départ, seulement ce P est un capital productif plus grand que le premier P. De même, lorsque, dans la formule A ... A´, le second cycle commence à A´, cet A´ fonctionne comme A, comme un capital-argent de grandeur déterminée qui a été avancé; c'est un capital-argent plus grand que celui qui ouvrait le premier cycle, mais toute référence à son augmentation par capitalisation de plus‑value est évanouie aussitôt qu'il se présente dans la fonction de capital-argent avancé. Cette origine n'est plus visible sous sa forme de capital-argent commençant son cycle. Il en est de même pour P´ dès qu'il fonctionne comme point de départ d'un nouveau cycle.

La comparaison de P ... P´ avec A ... A´, avec le premier cycle, montre qu'ils n'ont point du tout la même signification. Pris en lui-même, comme cycle isolé, A ... A´ exprime seulement que A, capital-argent (c'est-à-dire le capital industriel en son cycle de capital-argent) est de l'argent qui enfante de l'argent, de la valeur qui enfante de la valeur, qu'il dépose de la plus‑value. Par contre, dans le cycle de P, le procès de mise en valeur est accompli dès l'expiration du premier stade, du procès de production: et après parcours du deuxième stade M´‑A´ (premier stade de la circulation), la valeur-capital + la plus‑value existent déjà comme capital-argent réalisé, comme cet A´ qui apparaissait en dernier terme dans le premier cycle. La production de plus‑value est représentée, dans la forme P ... P étudiée en premier lieu (voir la formule explicite p. 67 [8]), par m‑a‑m, qui, dans son deuxième stade, échappe à la circulation du capital et représente la circulation de la plus‑value comme revenu. Cette dernière forme, qui représente le mouvement entier par P ... P, par conséquent sans écart de valeur entre les deux points extrêmes, représente donc tout comme A ... A´, la mise en valeur de la valeur avancée, la génération de plus‑value. Seulement l'acte M´‑A´ apparaît en A ... A´ comme dernier stade, tandis qu'il apparaît en P ... P comme second stade du cycle, premier de la circulation.

Dans P ... P´, P´ exprime non la production de plus‑value, mais la capitalisation de la plus‑value produite, donc l'accumulation de capital qui s'est faite: il exprime que P´ rapporté à P se compose de la valeur-capital primitive plus la valeur d'un capital accumulé par son mouvement.

A´, comme simple aboutissement de A ... A´, et M´, tel qu'il apparaît à l'intérieur de tous ces cycles, expriment par eux-mêmes non pas le mouvement, mais son résultat: le faire-valoir de la valeur-capital réalisé sous forme marchandise ou forme argent; ils expriment par conséquent la valeur-capital comme A + a, ou comme M + m, comme rapport entre la valeur-capital et sa progéniture, la plus‑value. Et ils expriment ce résultat dans leur qualité de formes différentes de la circulation de la valeur-capital mise en valeur. Mais ni sous la forme M´ ni sous la forme A´, la mise en valeur qui s'est opérée n'est elle-même une fonction soit du capital-argent, soit du capital-marchandise. Le capital-argent et le capital-marchandise, en tant que formes, modes d'existence spéciaux et différents correspondant à des fonctions spéciales du capital industriel, ne peuvent accomplir respectivement que des fonctions d'argent et des fonctions de marchandise: il n'y a d'autre différence entre eux que celle qui existe entre l'argent et la marchandise. Pareillement, le capital industriel, sous sa forme de capital productif, ne peut se composer que des éléments qui constituent tout autre procès de travail formateur de produit: d'une part les conditions de travail objectives (moyens de production), d'autre part la force de travail qui se met en œuvre d'une façon productive (adaptée à un but). De même que le capital industriel ne peut exister dans la sphère de la production que composé des éléments correspondant à n'importe quel procès de production, y compris le procès de production non capitaliste, il ne peut exister dans la sphère de la circulation que sous les deux formes qui correspondent à cette sphère: la marchandise et l'argent. Et de même que la somme des éléments de production s'annonce d'emblée comme capital productif du fait que la force de travail est une force de travail d'autrui, achetée par le capitaliste à son détenteur propre, ainsi qu'il achète ses moyens de production à d'autres détenteurs de marchandises; de même que, par conséquent, le procès de production lui-même se présente comme fonction productive du capital industriel, de même l'argent et la marchandise sont les formes de circulation de ce même capital industriel, et ainsi leurs fonctions sont ses fonctions de circulation à lui, qui ou bien préparent les fonctions du capital productif ou bien en résultent. C'est uniquement parce qu'elles sont liées entre elles comme formes de fonctions que le capital industriel doit accomplir à différents stades de son procès cyclique, que la fonction argent et la fonction marchandise sont en même temps fonctions du capital-argent et du capital-marchandise. On commet donc une erreur si l'on veut faire dériver les propriétés et fonctions spécifiques qui caractérisent l'argent comme argent et la marchandise comme marchandise, de leur caractère capitaliste, et c'est commettre une égale erreur que de faire dériver au rebours les propriétés du capital productif de ce qu'il existe sous forme de moyens de production.

Du moment où A´ ou M´ se fixent comme A + a ou M + m, c'est-à-dire comme rapport de la valeur-capital à la plus‑value, sa progéniture, ce rapport s'exprime ici et là, une fois sous forme d'argent, l'autre fois sous forme de marchandise, sans que cela change rien à la chose. Il est donc clair que ce rapport ne résulte ni des propriétés et fonctions revenant à l'argent comme tel ni de celles revenant à la marchandise comme telle. Dans les deux cas, la propriété caractéristique du capital, celle d'être une valeur qui enfante de la valeur, est exprimée uniquement comme résultat. M´ n'est jamais que le produit de la fonction de P, et A´ la forme de M´ qui a subi une conversion dans le cycle du capital industriel. C'est pourquoi, dès que le capital-argent réalisé reprend sa fonction spéciale de capital-argent, il cesse d'exprimer le rapport capitaliste contenu en A = A + a. Une fois que A ... A´ est décrit et que A´ recommence le cycle, il figure non pas comme A´, mais comme A, même dans le cas où on capitalise toute la plus‑value contenue dans A´. Le second cycle commence, dans notre exemple, par un capital-argent de 500 l. st., au lieu des 422 l. st. du premier cycle. Le capital- argent qui ouvre le cycle est de 78 l. st. plus grand qu'auparavant; cette différence existe quand on compare l'un des cycles avec l'autre; mais elle n'existe pas à l'intérieur de chaque cycle individuel. Les 500 l. st. avancées comme capital-argent, parmi lesquelles 78 l. st. existaient auparavant en qualité de plus‑value, jouent le même rôle que n'importe quelle somme de 500 l. st. par laquelle un autre capitaliste ouvre son premier cycle. Il en est de même pour le cycle du capital productif. Quand P´ agrandi recommence son cycle, il se présente avec les qualités de P, comme P le fait dans la reproduction simple P ... P.

Dans le stade A´‑M´{T+Mp}, l'augmentation de valeur n'est indiquée que par M´; elle ne l'est pas par T´ et Mp´. Puisque M est la somme de T et Mp, M´ indique déjà que la somme des termes T et Mp qu'il contient est plus grande que le P primitif. Au surplus, la notation T´ et Mp´ serait fausse puisque nous savons que la croissance du capital modifie la composition de sa valeur, qu'il se produit au fur et à mesure une augmentation de la valeur de Mp et une diminution, toujours relative, souvent absolue, de celle de T.

 

 

 

 

 

Notes



[1].       Manuscrit II (N. R.)

[2].       À partir d'ici, manuscrit VII, commencé le 2 juillet 1878. (N. R.)

[3].       Dans l'édition de Meissner: sous une. Nous corrigeons d'après le manuscrit de Marx. (N. R.)

[4].       Le terme "latent" est emprunté l'idée de chaleur latente en physique, idée à peu près éliminée aujourd’hui par la théorie de la transformation de l’énergie. C’est pourquoi Marx, dans la section III (dont la rédaction est postérieure), emploie le terme de "potentiel", emprunté à l'idée de l'énergie potentielle, ou encore, par analogie avec la vitesse virtuelle d'Alembert, "capital virtuel". (F. E.)

[5].       Le Capital, t. III, p. 21 sq. (N. R.)

          [321ignition] Le Capital - Livre premier, Paris, Messidor/Éditions sociales, 1983, Chapitre 22, p. 649 et suiv. (Cf. des extraits ).

[6].       Cf. notamment: Le Capital - Livre premier, Paris, Messidor/Éditions sociales, 1983, Chapitre 22, Sous-chapitre 3: "Partage de la survaleur en capital et en revenu. La théorie de l'abstinence", p.662 et suiv (dont un extrait ici ►).

[7].       [321ignition] En ce qui concerne le symbolisme employé, cf. Le Capital - Livre deuxième - Tome I, Paris, Éditions sociales, 1974, p. 28:

"Si nous désignons par T la force de travail et par Mp les moyens de production, la somme de marchandises à acheter s'exprime par M = T + Mp [...]. Considéré au point de vue de son contenu, A‑M se présente donc comme A‑M{T+Mp}, c'est-à-dire que A‑M se décompose en A‑T et A‑Mp; la somme d'argent A se divise en deux parties, dont l'une achète de la force de travail, l'autre des moyens de production. Ces deux séries d'achats relèvent de marches absolument différents, l'une du marché des marchandises proprement dit, l'autre du marché du travail."

[8].       [321ignition] Le Capital - Livre deuxième - Tome I, Paris, Éditions sociales, 1974, p. 61‑63:

"Le cycle du capital productif a pour formule générale: P ... M´‑A´‑M ... P.  [...] Considérons d'abord le procès M´‑A´‑M qui s'accomplit dans la sphère de la circulation entre les extrêmes P ... P. Le point de départ de cette circulation est le capital-marchandise: M´ = M + m = P + m. La fonction du capital-marchandise M´‑A´ (la réalisation à la fois de la valeur-capital contenue en lui = P, qui existe désormais comme M, composant de la marchandise, et de la plus-value contenue en lui qui existe comme composant de la même masse de marchandise, avec valeur m)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

{

T ... P

 

{

M

}

-

{

A

}

-

M

{

 

P ... M'

{

+

}

 

{

+

}

 

 

{

Mp

 

{

m

}

-

{

a

}

-

m